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jeudi 31 août 2017

Hiroshige II

Utagawa Hiroshige II (1826-1869)
Hiroshige II (1826-1869, 二代 広重, although he wrote it with the characters 廣重), also known as Shigenobu (重宣) and Risshō (立祥), was a Japanese woodblock print (ukiyo-e) artist. He was the chief student of the second great master of the Japanese landscape woodblock print, Hiroshige. He took over his master's go 'Hiroshige' on the latter's death, and is now principally known by it, being more usually referred to as 'Hiroshige II'.
The general view on him now is that was a relatively minor artist who was unable to generate a distinct style of his own, but nonetheless occasionally designed some very fine prints, and produced a considerable body of acceptable work. Many critics feel that the quality of his later works feel off significantly towards the end of his life, especially during the last half-decade.
He was born into a family of fire-watchmen, like his master Hiroshige I. He was originally named Suzuki Chimpei, and as his artistic career began, he was given the name Shigenobu (重宣) by his master Hiroshige I. He was made part of his master's household, and married Hiroshige I's daughter Tatsu.
During the period 1849-1858, he produced his earliest works, very much in the style of Hiroshige I. His work was principally nature prints, although he also produced figure prints, and prints of samurai or historical subjects. He also began signing with 'Ichiyūsai' (一幽斎, a former go of Hiroshige I) during this period.
He is thought to have assisted Hiroshige I with a number of his later series, including '36 Views of Fuji' and the 'Upright Tokaido'. He is known to have contributed at least three prints in 10/1858 to Hiroshige I's last great series of landscape prints, the Hundred Views of Edo, using the signature 'Hiroshige' (during Hiroshige I's lifetime).
After Hiroshige's death in 1858, in the first month of the following year he formally adopted his master's go of Ichiryūsai (一立斎) and Hiroshige (広重, although they wrote it with the characters 廣重). During this period his work continued to strongly resemble that of Hiroshige I, both in style and subject matter.
In 1865, he divorced his wife, moved to Yokohama, remarried, and adopted the names Ryūsho and Risshō (立祥). Although his prints were shown at the Paris Exhibition in 1867, it brought him little success in Japan, and he was forced to make a living painting tea-sets and lanterns for export. He died in Yokohama, in great poverty, in 1869.
Works
He produced a number of series of prints, many of them views of Edo, including:
• One Hundred Views of Famous Places in the Provinces (1859-1864)
• Forty-Eight Views of Famous Places in Edo (1860 - 1861)
• Thirty-Six Views of the Eastern Capital (1861 - 1862)
• Views of Famous Places in Edo (1861 - 1863)
• Sixty-eight Views of the Various Provinces (1862)
• 'Processional' Tōkaidō (collaboration with other artists) (1863)
• Thirty-Six Flowers (1866)
Some are of some merit: the 'Thirty-Six Flowers', all shown at famous places in Tōkyō (as it was by then called) in particular is a good flower series, and 'One Hundred Views of Famous Places in Various Provinces' contains a number of first-rate images.
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Sixty-eight Views of the Various Provinces
Shokoku rokujū-hakkei 諸国 六十八 
(1862)
vertical chūban


#14  伊豆 伊呂尾  Izu Irō-zaki Cape IrōIzu Province 
There is now a famous lighthouse on this cape.There are instances of this print in mostly blue hues, fitting for the night scene portrayed here; a small image of one may be seen here.The name of this location is now usually written with the characters 石廊 .


#37 丹後 天はし立 Tango Ama-no-HashidateAma-no-Hashidate, Tango Province 
The Ama-no-Hashidate Peninsula is one of the most famous natural features in Japan; its name can be translated as 'Passage to Heaven' or 'Bridge to Heaven'.Its name is usually written with the characters 天橋立.


#42石見 高津  Iwami Takatsu-yamaMount Takatsu, Iwami Province
The name is sometimes given as Mount Takazuno


#49 安芸 音戸 Aki Ondo Ondo, Aki Province 
Ondo is located on Kurahashi Island (Kurahashi-jima倉橋), with the Ondo no Seto strait (音戸  瀬戸), which links Kure Bay and the open sea, between it and the city of Kure on the mainland. Natural tidal currents flow through the strait quite fast, at speeds of up to five knots. The small memorial seen on the small island is probably the Kiyomori memorial (Kiyomori-zuka清盛塚), built in the Muromachi Period to commemorate Taira no Kiyomori (  清盛), an important Japanese historical figure who worked to deepen the Ondo no Seto channel; it is still there today.


#54  阿波 北泊  鳴戸 Awa Kitadomari koNaruto Kitadomari Inlet at Naruto, Awa Province
The whirlpool at Naruto (Naruto no uzushio鳴門  渦潮) is still a popular scenic attraction.
The caption seems to contain a common Japanese homonym character play - the character used for 'ko' is not the normal one for 'inlet', but a different one (meaning 'small').


#58 筑前 筥崎 Chikuzen HakozakiHakozakiChikuzen Province
Hakozaki is now a suburb on the east side of Fukuoka, in Higashi ward.

mercredi 23 août 2017

Shungas - Koikawa Shozan



Recueil d'estampes érotiques 

signées

Keisuitei Koikawa Shozan (1821-1907)

恋川笑山













Koikawa Shozan,
premier topographe du sexe inspiré par Hiroshige.


Koikawa Shozan (1831-1907) était un artiste prolifique et était actif dans la période Edo en tant que période Meiji. Bien que son travail sur les shungas  s'appuie fortement sur celui de ses contemporains, il a apporté beaucoup de créations imaginatives. Il a publié de nombreux ouvrages dans lesquels il a utilisé différents noms de plume et a également fait des illustrations pour des romans


Topographe du sexe


Expert en estampes japonaises et auteur de «Sex and the Floating World» (Le sexe dans le monde flottant ), Timon Screech, appelle Shozan le premier topographe du sexe. Ceci en raison de son plus étonnant travail érotique : 'Travel Pillow for the Fifty-Three Stations (Tabimakura Gojusan-tsugi)' des années 1850, un voyage sur l’oreiller….


Tokaido


Ce travail se compose de 54 estampes colorées, une pour chaque station du Tokaido plus une feuille libre. Chaque image dépeint un résident Edo ayant des relations sexuelles avec un autre voyageur, une «serveuse», une fille du pays ou même deux hommes.


Hiroshige


Il est intéressant de comparer les dessins de Shozan avec les célèbres séries "Fifty-Three Stations of the Tokaido" d'Utagawa Hiroshige (1797-1858). Par exemple, l'image ci-dessus représente la station Fukuroi et on y retrouve en fonds la version d'Hiroshige ci-dessousi.



Shungas





Six estampes érotiques et leur étui
(Ecole Utagawa-Années 1880)

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mardi 22 août 2017

E-hon ou Ehon (絵本)



E-hon ou Ehon (絵本) est le terme japonais servant à désigner un livre illustré. 

À partir du XVIIe siècle, l'essor prodigieux de la xylographie (gravure sur bois) est venu faire concurrence à la peinture traditionnelle. C'est à cette époque que les textes proprement japonais ont pris enfin place dans la production imprimée du pays, détrônant le patrimoine d'origine chinoise. Comme dans nombre d'ouvrages traitant notamment des arts et de la géographie, l'image xylographique s'est imposée dans les textes littéraires et poétiques. Nombreux sont les romans illustrés de tous genres qui sont parus tout au long de l'époque d'Edo (1603-1868), à commencer par les otogi-zôshi de l'époque précédente, les "livrets en écriture syllabique", kana-zôshi, et, à partir de la fin du XVIIe siècle, les "livrets du monde flottant" ukiyo-zôshi.
C'est d'ailleurs du succès de ces derniers que sont nées les estampes de l'école ukiyo-e. La prolifération des estampes allait de pair avec celle des livres illustrés. C'est aussi sous forme d'albums que les deux grandes célébrités de l'estampe, Utamaro et Hokusai, illustrèrent magistralement les recueils de poèmes parodiques, kyôka

Les e-hon étaient réalisés avec la technique de l' estampe sur bois imprimée sur un fin papier washi, d'un côté seulement, puis plié en deux, créant ainsi une feuille imprimée des deux côtés, les feuilles étant liées les unes aux autres (l'ordre des pages allant de droite à gauche) avec une simple reliure cousue externe.

Généralement imprimés avec de l'encre noire (sumi) sur du papier blanc, les dessins de couverture étaient en revanche polychromes.

Le format appelé chullon était de 116mm x 178mm.

D'un genre romanesque mineur, les "livrets illustrés", kusa-zôshi, parus à partir de la fin du XVIIe siècle, étaient d'abord destinés aux enfants. Aux "livrets rouges", aka-hon, ont succédé les "livrets à couverture jaune", ki-byôshi, qui ont connu un grand succès auprès d'un public d'adultes.
Le dernier né du genre se présentait sous la forme dite "livrets en série", gôkan.

Les romans à la mode donnaient lieu à d'innombrables rebondissements et épisodes. Généralement, on publiait les chapitres deux par deux, chaque volume comportant une dizaine de pages, dans lesquelles textes et images en noir et blanc sont inextricablement mêlés. Dans toutes les pages des gôkan, textes et images s'interpénètrent avec un remarquable dynamisme. Sur la double page, le texte en écriture d'une extrême finesse s'enchaîne dans les blancs de l'image, de haut en bas comme de droite à gauche.

Ce type de livres appelés Ehon Gökan connurent une grande vogue entre 1807 et 1888.

Les deux couvertures en couleur mises côte à côte constituent une scène unique. 

Les signatures figurent à la dernière page du second volume, et annoncent généralement la publication des épisodes suivants.

La production de e-hon représentait une part importante de l'industrie de l'édition japonaise. La plupart des artistes des écoles ukiyo-e d'estampes sur bois de cette époque produisaient des dessins pour e-hon.

Les ouvrages figurant dans cet article, acquis en août 2017, ont tous été exécutés parlles membres les plus célèbres de la fameuse école Utagawa, et élèves de Toyokuni (豊国,1769-1825) tels que : Kunimura(国邑), Kunisada(国貞, qui reprit lui-même le nom de Toyokuni à la mort du maître) , Kuniteru (国輝) et Kuniyoshi(国美).
1-Scène : Duel dans les vagues

Titre du roman : Ominaeshi Goshiki Sekidai

(女郎花五色石台) Courtesan Flower and the Five-colored Tombstone

Illustrations : Utagawa Kunimori

Texte  :  Ryukatei Tanekazu

Dimensions de la page : 17.5cm× 11.5cm

Date: 1853

Pages : 20 + 20

Commentaire :  ce roman traite de l’éducation et du rôle social de la femme dans la société traditionnelle japonaise.

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2-Scène : Portrait d’un samurai encadré

Titre du roman: Irohabiki Terairi Setsuyo

(le dictionnaire de l’ écolier par ordre alphabétique)

Illustrations : Utagawa Kunisada

Texte: Ryutei Tanehiko

Dimensions de la page : 17.5cm× 11.5cm

Date: 1828

Pages  : 60

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3- Scène : Préparatifs de la fête du hôsôgami

Titre du roman: Omisoka Akebonososhi

Illustrations : Utagawa Kunisada

Texte: Santo Kyozan

Dimensions de la page : 17.5cm× 11.5cm

Date: 1839

Pages : 20 + 20 pages

Commentaire : cette scène est liée au culte du démon de la variole, le hôsôgami, que l’on rendait le dernier jour de l’année, c’est-à-dire le même jour que le toshigami, démon de la nouvelle année. Dans certaines régions, la maîtresse de maison se rend à un carrefour où elle accueille le hôsôgami en le plaçant sur un van.  Elle l’annonce à son retour par le mot « tadaima » et les gens de la maison répondent « dôzo o-agari kudasai » (veuillez entrer s’il vous plaît). Les deux divinités étaient accueillies en même temps, parfois sur le même autel, afin de transformer le démon malveillant de la maladie en divinité du bonheur.

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4- Scène : Jeunes filles jouant à la raquette

Titre du roman: Omisoka Akebonososhi

Illustrations : Utagawa Kunisada

Texte: Santo Kyozan

Dimensions de la page : 17.5cm× 11.5cm

Date: 1842

Pages : 20 +20

Commentaire : toujours dans le même esprit que l’article précédent, puisqu’il s’agit de chapitres suivants d’un même roman sur la variole, cette scène est liée aux célébrations du nouvel an, et par conséquent aux vœux de bonne santé.

Le concept du jeu est lié à celui de la joie et de la bonne santé :

“KAGUGARU TO KAZE NO TEMARI WO TSUKU-BANE WA

HARU NO KO-DAKARA WARAU KADOSAKI”

(Au seuil de la maison le petit trésor accueille le printemps de ses rires frappant légèrement la balle volant an vent)

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5- Scène : Portraits d’acteurs sur des éventails

Titre du roman : Haremoyo Harete Kisaragi

Illustrations : Utagawa Kunisada

Texte: Ryusuitei Tanekiyo

Dimensions de la page : 17.5cm× 11.5cm

Date: 1858

Pages : 20 + 20

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6- Scène : Portraits d'acteurs sur des cartes à jouer
Titre du livre : Tsuru chitose Soga-no-Kadomatsu 
Illustrations : Utagawa Kunisada
Texte : Takeshiba Genzo
Dimensions de la page : 17,5cmx 11,5cm
Date : 1864
Pages : 20 + 20

Commentaire : il s'agit dans cet ouvrage d'une pièce de théatre du Nouvel An basée sur la légende des frères Soga. Les deux antagonistes en sont les personnages de Fuwa Bansaku et Nagoya Kosanza, qui apparaissent dans de nombreuses pièces de kabuki traitant du thème de la vengeance. Le mémorial de Tsubuchi du Musée du Théatre indique que c'est l'acteur Ichikawa Shinsha qui tenait le rôle féminin de Yaegaki (carte de droite).


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7- Scène : chasse au Sanglier

Titre du livre: Yumiharizuki Haru-no-Yubae

(croissant de lune + printemps + ? )

Illustrations : Utagawa Kuniteru

Texte: Rakutei Saiba

Dime,nsions: 17.5cm× 11.5cm

Date : 1853

Pages: 20 + 20


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8- Scène ; Belle sur la plage

Titre du roman : Kinsei Bijinroku

(琴聲美人錄)

Illustrations : Utagawa Kuniteru

Texte: Santo Kyozan

Dimensions de la page : 17.5cm× 11.5cm

Date: 1854

Pages : 40

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9- Scène : Chevalier à la banniere

Titre du roman: Yumihari zuki Haru-no-Yubae

(croissant de lune + printemps + ? )

Illustrations: Utagawa Kuniteru

Texte: Rakutei Saiba

Dimensions de la page : 17.5cm× 11.5cm

Date: 1855

Pages : 20 + 20

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10- Scène : Ombrelle et chapeau de paille

Titre du roman : Kanahougo Ikkyu Soshi

Illustrations: Utagawa Kuniteru

Texte: Ryukatei Tanekazu

Dimensions de la page : 17.5cm× 11.5cm

Date: 1853

Pages : 20 + 20

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11- Scène : Barque au soleil levant

Titre du roman : Kanayomi Hakkenden

(假名讀八犬傳) Le hakkenden raconté aux enfants

Illustrations: Utagawa Kuniyoshi

Texte: Tamenaga Shunsui

Dimensions de la page : 17.5cm× 11.5cm

Date: 1851
Pages : 20 + 20
 
Commentaires :  Nansō Satomi Hakkenden (en kyūjitai  ; en shinjitai plus récent ) est un roman épique japonais en 106 volumes ecrit par Kyokutei Bakin . Les volumes ont été publiés sur une période de près de trente ans (1814 à 1842). Bakin était devenu aveugle avant de finir le récit, et il a dicté les dernières parties a sa belle-fille, Michi. Le titre a été traduit par “le conte des huit chiens” .
Situé dans la période tumultueuse de Sengoku (350 ans avant Bakin), Hakkenden est l'histoire de huit demi-frères samouraïs, tous descendus d'un chien et portant le mot «chien» dans leurs noms de famille, et leurs aventures, avec des thèmes de La loyauté et l' honneur de la famille, ainsi que le confucianisme , le bushido et la philosophie bouddhiste .
L'une des sources directes d'inspiration du roman est le roman épique chinois du XIVe siècle du XVIIe siècle par Shi Nai'an . Les traductions japonaises remontent à au moins 1757, lorsque le premier volume d'un début Suikoden ( Water Margin rendu en japonais) a été imprimé.
L'histoire d'une princesse épousant un chien qui amène son père à la tête de son ennemi semble être une référence au mythe chinois de Panhu .
Une réimpression complète en dix volumes est disponible dans l'original japonais, ainsi que diverses traductions japonaises modernes, la plupart d'entre elles abrégées. Seuls quelques chapitres sont disponibles traduits en anglais , ch. 25 par Donald Keene  et chs. 12, 13 et 19 par Chris Drake. Une traduction complète est actuellement en cours.
  
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12- Scène. Paysans menant un boeuf

Titre du livre: Ominaeshi Goshiki Sekidai
Illustrations : Utagawa Toyokuni
Texte: Kyokutei Bakin
Dimensions : 18cm× 12cm
Date: 1847
Page: 20.20 pages
 

 Commentaire : TAKIZAWA Bakin (1767-1848) écrivait sous le nom de Kokyutei Bakin, il est la plus grande figure qui domine l'écriture romanesque de la première moitié du XIXe siècle, admiré pour ses reconstitutions historiques. Il s'agit du dernier ouvrage posthume de l'auteur, alors qu'il était aveugle et qu'il dictait à sa femme le récit en question. Toyokuni III (Utagawa Kunisada Toyokuni 1786 - 1864) a illustré l'ouvrage, artiste célèbre de l'école Utagawa ; il fut le plus populaire et le plus prolifique des artistes de cette période.
 
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13- Scène : Vol de hérons

Titre du roman : Kanayomi Hakkenden

Illustrations: Utagawa Kuniyoshi

Texte: Tamenaga Shunsui

Dimensions de la page : 17.5cm× 11.5cm

Date: 1849

Pages : 20 + 20

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14- Scène : Vol de pluviers

Titre du roman: Kanayomi Hakkenden

Illustrations: Utagawa Kuniyoshi

Texte: Tamenaga Shunsui

Dimensions de la page : 17.5cm× 11.5cm

Date: 1851
Pages : 20 + 20

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15- Scène : Cavalier saluant une belle

Titre du roman : Shakahasso Yamato Bunko

(釈花八粧矢的文庫). Version japonaise de la vie du Bouddha

Illustrations : Utagawa Toyokuni

Texte : Mantei Ouga

Dimensions de la page : 17.5cm× 11.5cm

Date : 1848

Pages : 20 + 20

Commentaire : il existe une version erotique de cet ouvrage, illustré par Koikawa Shozan ( 1821-1907), consultable à l’adresse suivante


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16- Scène : Couple au petit chien

Titre du roman: Oshiegusa Nyobokatagi

Ebi de tai wo tsuru

Avec une crevette on peut pêcher un bon poisson,

c’est-à-dire En donnant sans arrière-pensée, on peut recevoir bien plus

Illustrations: Utagawa Toyokuni

Texte: Santo Kyozan

Dimensions de la page : 17.5cm× 11.5cm

Date: 1850

Pages : 20 + 20

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17-  Scène : Les liseuses

Titre du roman : Oshiegusa Nyobokatagi

Illustrations : Utagawa Toyokuni

Texte: Santo Kyozan

Dimensions de la page : 17.5cm× 11.5cm

Date: 1852

Pages : 20 + 20