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samedi 25 février 2012
Goodbye again 1961
Un film délicieux avec Ingrid Bergman, habillée par Dior, dont le coeur balance entre Yves Montand et Anthony Perkins. La version francaise s'appelle "Aimez vous Brahms", du nom du roman de Francoise Sagan dont est tiré le scénario.
mercredi 22 février 2012
l'implexe des ancêtres
LA GÉNÉALOGIE |
Une généalogie est la représentation écrite de l'ensemble d'un groupe d'hommes et de femmes unis par des liens génétiques et familiaux sur plusieurs générations. La généalogie d'une personne est composée de son ascendance (parents, ayeux et ancêtres), de sa descendance (enfants, petits-enfants, etc.) et des collatéraux (cousins, neveux, oncles,etc.).
- GÉNÉALOGIE ASCENDANTE -
Les ancêtres
ASCENDANCE AGNATIQUE et/ou PATRONYMIQUE
La généalogie est dite ascendante agnatique lorsqu'elle représente uniquement la filiation directe suivie des ancêtres de pères en fils et ascendante patronymique lorsqu'elle représente la filiation directe suivie des ancêtres d'une personne portant le même nom de famille (le nom de famille pouvant être issu d'une femme, ou pouvant avoir changé dans la filiation agnatique; d'où la différence entre agnatique et patronymique). Cette représentation généalogique vous fera connaître vos ancêtres de pères en fils et/ou du même nom jusque vers les années 1650, ainsi que l'origine locale, la signification de votre patronyme à travers les actes d'état civil ou religieux (naissance, baptême, mariage, décès et sépulture) et parfois, si besoin est, notariés (contrats de mariage, testaments, etc.).
A l'instar des généalogies agnatiques et patronymiques, la généalogie ascendante complète est la représentation de tous les ancêtres masculins et féminins d'un homme ou d'une femme sur plusieurs générations. A chaque génération (30 ans environ) le nombre des ancêtres est doublé.
Exemple d'une personne née vers 1930
1ère ... génération : un homme, une femme, ou des frères et sœurs issus d'un même couple.
2ème . génération : le père et la mère.
3ème . génération : les 4 grands parents
4ème . génération : les 8 bisaïeuls.
5ème . génération : les 16 trisaïeuls. Cette généalogie est aussi appelée : les 16 quartiers.
6ème . génération : les 32 ancêtres nés vers 1780 ou 32 quartiers.
7ème . génération : les 64 ancêtres nés vers 1750 ou 64 quartiers.
8ème . génération : les 128 ancêtres nés vers 1720 ou 128 quartiers.
9ème . génération : les 256 ancêtres nés vers 1690 ou 256 quartiers.
10ème génération : les 512 ancêtres nés vers 1660 ou 512 quartiers (plus de 500 ancêtres)
20ème génération : 524 288 ancêtres nés vers 1360 ....................... (plus de 500 milles ancêtres)
30ème génération : 536 870 912 ancêtres nés vers 1060 ................. (plus de 500 millions)
40ème génération : 549 755 813 888 ancêtres nés vers 760 ............ (plus de 500 milliards !)
Ces chiffres astronomiques ne correspondent à rien de véritable.
En effet, nous devrions avoir théoriquement plus de 500 milliards d'ancêtres nés vers l'an 760 alors qu'à l'époque le nombre des hommes vivant sur la terre ne devait pas dépasser le milliard; dont une grande partie n'a pas procréé (mort en bas âge, etc.). Nous descendons donc des milliers de fois de mêmes ancêtres par un grand nombre d'unions consanguines ce que l'on nomme : l'implexe des ancêtres.
Il est assez difficile de remonter avant 1600 une lignée d'ancêtres de modeste condition (laboureur, métayer, petit métiers), faute de document. L'une des façons de remonter plus loin une lignée d'ancêtres parmi d'autres lignées, est de découvrir une filiation féminine descendant d'une lignée de notable (petite seigneurie, notaire, etc.); cette lignée ayant laissé des documents d'archives permettant de la retracer et de la rattacher parfois à une autre filiation féminine d'ancêtres de petite noblesse et ainsi de suite pour arriver à des lignées d'ancêtres et de familles qui se sont illustrées dans l'histoire régionale (Seigneur de village, baron, etc...) et par les ascendances maternelles au niveau nationale (Comte, Duc, Roi).
Dans la pratique, pour découvrir de tel lignage, il faut dresser une généalogie ascendante complète, c'est-à-dire découvrir tous les ancêtres paternels et maternels d'une personne et cela le plus antérieurement possible, afin de découvrir environ entre la 10éme et 15ème génération d'ancêtres une filiation féminine susceptible de se rattacher à un lignage illustre. L'ensemble de ce type de recherches est très important, et prend plusieurs mois à temps plein.
vendredi 17 février 2012
Daini no Sanmi
Poete No 58 Daini no Sanmi
Dame Kataiko
大弐三位
ありま山 Arimayama
猪名の笹原 Ina no sasawara
風吹けば Kaze fukeba
いでそよ人を Ide soyo hito o
忘れやはする Wasure ya wa suru
猪名の笹原 Ina no sasawara
風吹けば Kaze fukeba
いでそよ人を Ide soyo hito o
忘れやはする Wasure ya wa suru
tiré de la série
Ogura nazorae hyakunin isshu, 1847
(comparaison de la série Ogura des Cent Poetes, un par un)
Chaque estampe de la série associe
un poete de la célèbre anthologie des Cent Poetes
avec une scene de théatre ou d'histoire.
La série fut co-signée par Hiroshige, Kuniyoshi et Kunisada.
On peut la voir complete a l'adresse suivante :
Harimaze joruri kagami
Hiroshige (1797-1858)
Harimaze joruri kagami 1854
Miroir de pieces de kabuki
Page 174 en bas a droite
samedi 11 février 2012
dimanche 5 février 2012
vendredi 3 février 2012
Camille, 1936
Je viens de voir Camille, le film de George Cukor, d'après la Dame aux camélias d'Alexandre Dumas fils: une adaptation d'une rare vulgarité, qui transforme le salon de Marguerite Gauthier en saloon du Far Ouest.
Greta Garbo surjoue le rôle comme si elle tournait encore pour le cinéma muet, ce qui aurait eu l'avantage de nous éviter sa voix et son accent, trés excessivement langoureux. Heureusement Robert Taylor, dans le rôle d'Armand, sauve la mise par un charme irresistible dont il semble parfaitement inconscient : le comble de l'élégance.
jeudi 2 février 2012
Deux potraits signés HIROSADA, entre 1847 et 1853
Pour la pureté des lignes du visage,
qui font penser aux masques de No,
et pour la richesse des costumes.
(école d'Osaka)
mercredi 1 février 2012
Love Affair 1939
Un film de Leo McCarey avec Irene Dunne et Charles Boyer.
La rencontre sur un paquebot entre deux personnages modernes, cyniques et libertins, que le destin a éloignés de leurs rêves, et qui seront amenés, par amour, a découvrir la possibilité d'une vie plus authentique, basée sur la sincérité et la générosité.
Charmant dosage entre la comédie et la romance, la rencontre se produit dans le cadre d'un croisière en première classe où les dames dinent en robe longue, entre deux personnages qui, s'ils n'ont pas définitivement perdu leurs illusions, les ont en tout cas reléguées entre de solides parenthèses. Le charme de ces deux personnages, c'est d'être mauvais par faiblesse plus que par conviction, d'être prêts à changer sans totefois le désirer vraiment, de se satisfaire d'une existence facile sans oser songer au bonheur. Le charme de cette histoire c'est la facon dont la possibilité d'une autre vie apparait dans leur coeurs sans qu'ils se l'avouent mutuellement et à peine d'ailleurs à eux-mêmes. A la descente du bateau, il ne s'est rien passé et ils ne se sont rien promis, chacun reprend sa vie de son côté. Ils se sont juste donné rendez-vous dans six mois. C'est le temps qu'il leur faudra pour faire table rase et se préparer à la vraie rencontre.
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