samedi 30 mai 2015
vendredi 29 mai 2015
samedi 23 mai 2015
vendredi 22 mai 2015
lundi 18 mai 2015
vendredi 15 mai 2015
jeudi 14 mai 2015
YOSHITORA, The Battle of the Uji River (Ujikawa kassen no zu)
Sasaki Takatsune, Kajiwara Kagesue et Hatakeyama Shigetada font la course à qui traversera le premier la rivière Uji, pour se lancer dans la seconde bataille d'Uji qui eut lieu en 1184. Ils appartenaient à l'armée du Shogun Minamoto no Yoritomo qui dirigea et gagna la guerre dite de Genpei contre le clan Taira. Leurs exploits ont été relatés et transmis par le Heike Monogatari, recueil d'aventures chevaleresques de cette époque légendaire.
Sasaki Takatsuna (佐々木 高綱1160-1214) sauva la vie de Yoritomo à la bataille de Ishibashiyama. Après la guerre, il obtint le poste de gouverneur de la province de Nagato et termina sa vie au monastère du Mont Koya. Traditionnellement il est représenté à la poursuite de Kajiwara Kagesue à la bataille de la rivière Uji, chevauchant Ikezuki, le blanc destrier du shogun Yorimoto.
Kajiwara Kagesue (梶原 景季,1162-1200) également connu sous le nom de Kajiwara Kagetoki, était monté quant à lui sur Surusumi, le cheval noir du shogun. Alors qu'il avait commencé la course en tête, sa selle vient à se défaire et il se fait distancer par Sasaki.
Hatakeyama Shigetada (畠山 重忠1164-1205) également appelé Shirafuji Hikoshichiro, à l'origine partisan du clan Taira, avait rejoint le parti de Yoritomo à la faveur de la bataille de Dan-no-ura. A la bataille de la rivière Uji, son cheval fut blessé d'une flèche. Dans le Heike Monogatari, on dit qu'il abandonna son cheval. Ici Yoshitora le montre venant en aide à sa monture en la portant sur son dos, ce qui se rapporte en réalité à un autre épisode de la vie de ce héros, qui eut lieu lors de la bataille de Ichinotani.
La bataille de Ujikawa a été représenté à plusieurs reprises par Kuniyoshi, le maître de Yoshitora :
La bataille de Ujikawa a été représenté à plusieurs reprises par Kuniyoshi, le maître de Yoshitora :
Egalement traite par Sadahide :
mardi 12 mai 2015
lundi 11 mai 2015
dimanche 10 mai 2015
Makura no Sôshi
"Règle générale, j'ai rapporté ce que
j'avais observé de curieux dans le monde ; mais j'ai choisi, de même, ce
qui me semblait de nature à montrer la splendeur des hommes, et j'ai
parlé encore des poésies, des arbres, des herbes, des oiseaux et des
insectes."
-- Sei Shônagon, Notes de Chevet.
Les roses trémières desséchées.
Les objets qui servirent à la fête des poupées.
Un petit morceau d'étoffe violette ou couleur de vigne, qui vous rappelle la confection d'un costume, et que l'on découvre dans un livre où il était resté, pressé.
Un jour de pluie, où l'on s'ennuie, on retrouve les lettres d'un homme jadis aimé.
Un éventail chauve-souris de l'an passé.
Les objets qui servirent à la fête des poupées.
Un petit morceau d'étoffe violette ou couleur de vigne, qui vous rappelle la confection d'un costume, et que l'on découvre dans un livre où il était resté, pressé.
Un jour de pluie, où l'on s'ennuie, on retrouve les lettres d'un homme jadis aimé.
Un éventail chauve-souris de l'an passé.
- (Un éventail chauve-souris : éventail d'été, souvent sorti pour les fêtes)
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007 (ISBN 9782070705337), p. 60
La fleur du poirier est la chose la plus vulgaire et la plus déplaisante qui soit au monde. On ne la garde pas volontiers près des yeux, et l'on ne se sert pas d'un rameau de poirier pour y attacher même un futile billet. Quand on voit le visage d'une femme qui manque d'attrait, c'est à la fleur de poirier qu'on l'assimile, et, en vérité, à cause de sa couleur, cette fleur paraît sans agrément.
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 71-72
Le Censeur [sous-chef des chambellans] (…) affirme souvent : « Même si une femme avait les yeux en long dans le visage, des sourcils lui couvrant le front, et un nez écarté en travers, je pense qu'on pourrait l'aimer si elle avait la bouche bien faite, le dessous du menton et le cou jolis, et si elle n'avait pas une vilaine voix ».
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 83
C'est très détestable lorsqu'un jeune homme bien né appelle une personne d'un rang inférieur en disant le nom de cette femme comme une chose dont il a l'habitude. Même s'il connaît ce nom, il convient qu'il le prononce comme s'il avait oublié, par mégarde, la moitié des syllabes.
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 87
Un gendre loué par son beau-père.
Une bru aimée par sa belle-mère.
Une pince à épiler, d'argent, qui arrache bien.
Un serviteur qui ne médit pas de son maître.
Une personne sans la moindre manie, sans infirmité, supérieure au physique comme au moral, et qui reste sans défaut, alors qu'elle vit dans le monde.
Une bru aimée par sa belle-mère.
Une pince à épiler, d'argent, qui arrache bien.
Un serviteur qui ne médit pas de son maître.
Une personne sans la moindre manie, sans infirmité, supérieure au physique comme au moral, et qui reste sans défaut, alors qu'elle vit dans le monde.
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 96
Toute la nuit, nous entendons marcher, devant les chambres, des gens chaussés de souliers. De temps en temps, les pas s'arrêtent : on frappe à quelque porte, d'un doigt seulement, et il est amusant de se dire que malgré cela, la dame qui habite cette chambre a bien reconnu tout de suite, à sa manière de frapper, celui qui est là. Parfois, les coups durent très longtemps, et pourtant la dame garde le silence. L'homme pense sans doute qu'elle est endormie. Elle en a du regret ; le bruit d'un corps qui bouge quelque peu, le bruissement d'une étoffe font savoir au visiteur ce qui en est. La dame entend distinctement agiter son éventail.
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 97-98
Quand le Capitaine sous-chef des chambellans arriva, j'ouvris la demi-jalousie de la face orientale, et je le priai d'approcher. Il s'avança, magnifique, portant un manteau de cour d'une superbe couleur de cerisier, avec une doublure dont la nuance et le lustre avaient un charme indicible. Sur son pantalon à lacets, couleur de vigne très foncée, on voyait, brodées çà et là, des branches de glycine, plus grandes que nature. La teinte et l'éclat de son vêtement de dessous écarlate paraissaient splendides, et, dessous encore, de nombreux vêtements blancs et violet clair étaient mis l'un sur l'autre.
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 107
L'Empereur possédait une flûte appelée « Non, je ne l'échangerai pas ». Aux instruments qui appartiennent au Souverain, aux harpes, aux flûtes, à tous, on a donné des noms étranges. Pour les guitares, on les appelle par exemple : « Au-dessus du mystère », « Le pâturage des chevaux », « Le dessus du puits », « Le pont sur la rivière Wei », « Sans nom ». Les harpes japonaises se nomment : « L'œil mourant », « La chaudière à sel », « Les deux percées ». J'ai entendu aussi des noms tels que «(...) « Le petit dragon d'eau », (…), « Un coup sur un clou », « Deux feuilles »...
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 132
L'habit de chasse que porte le chef de l'escorte impériale.
Une étole faite de morceaux divers.
Le lieutenant de la garde du corps qui surveille les concours d'archers et de lutteurs, et qui escorte le Souverain.
Une personne très grasse, qui a beaucoup de cheveux.
Les sacs dans lesquels on met les harpes.
Un chanoine, en prière au sixième ou au septième mois, qui fait ses pieux exercices à midi.
Ou encore, au même moment, un forgeron qui travaille le cuivre
Une étole faite de morceaux divers.
Le lieutenant de la garde du corps qui surveille les concours d'archers et de lutteurs, et qui escorte le Souverain.
Une personne très grasse, qui a beaucoup de cheveux.
Les sacs dans lesquels on met les harpes.
Un chanoine, en prière au sixième ou au septième mois, qui fait ses pieux exercices à midi.
Ou encore, au même moment, un forgeron qui travaille le cuivre
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 167
Un grand bateau, à sec dans une baie, à marée basse.
Le temps qu'une femme dont la chevelure est courte met à se peigner après avoir ôté ses faux cheveux.
Un grand arbre renversé par le vent et couché sur le sol, les racines en l'air.
Le dos du lutteur qui se retire après avoir été battu.
Un homme sans grande autorité qui réprimande un serviteur.
Le temps qu'une femme dont la chevelure est courte met à se peigner après avoir ôté ses faux cheveux.
Un grand arbre renversé par le vent et couché sur le sol, les racines en l'air.
Le dos du lutteur qui se retire après avoir été battu.
Un homme sans grande autorité qui réprimande un serviteur.
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 168
On appelle une personne, et une autre se
présente, croyant que c'était elle qu'on demandait. La chose est encore
plus désagréable lorsqu'on apporte un cadeau.
(…)
Quelqu'un vous raconte, en sanglotant, une histoire pitoyable ; on l'écoute avec une sincère compassion. Cependant, il se trouve justement qu'on ne peut verser une larme. On se compose le visage comme si l'on était près de pleurer, on prend un air de circonstance ; mais tout cela ne change absolument rien !
(…)
Quelqu'un vous raconte, en sanglotant, une histoire pitoyable ; on l'écoute avec une sincère compassion. Cependant, il se trouve justement qu'on ne peut verser une larme. On se compose le visage comme si l'on était près de pleurer, on prend un air de circonstance ; mais tout cela ne change absolument rien !
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 169
Une natte à fleurs, vieille, et dont les bords usés sont en lambeaux.
Un paravent dont le papier, orné d'une peinture chinoise, est abîmé.
Un pin desséché, auquel s'accroche la glycine.
Une jupe d'apparat blanche, dont les dessins imprimés, bleu fonçé, ont changé de couleur.
Un peintre dont la vue s'obscurcit.
(…)
Un homme qui fut autrefois le héros élégant de nombreuses aventures amoureuses, maintenant vieux et décrépit.
Dans le jardin d'une jolie maison, un incendie a brûlé les arbres. L'étang avait d'abord gardé son aspect primitif ; mais il a été envahi par les lentilles d'eau, les herbes aquatiques.
Un paravent dont le papier, orné d'une peinture chinoise, est abîmé.
Un pin desséché, auquel s'accroche la glycine.
Une jupe d'apparat blanche, dont les dessins imprimés, bleu fonçé, ont changé de couleur.
Un peintre dont la vue s'obscurcit.
(…)
Un homme qui fut autrefois le héros élégant de nombreuses aventures amoureuses, maintenant vieux et décrépit.
Dans le jardin d'une jolie maison, un incendie a brûlé les arbres. L'étang avait d'abord gardé son aspect primitif ; mais il a été envahi par les lentilles d'eau, les herbes aquatiques.
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 210-211
La musique de l'orgue à bouche paraît merveilleuse. On aime à l'écouter, par exemple, lorsqu'on se promène en voiture au clair de lune. Cependant, l'instrument est encombrant et la manière dont on s'en sert est déplaisante. Quelle figure a celui qui en joue ! Mais à ce propos, il faut dire qu'avec la flûte traversière, également, il y a bien des façons de souffler qui n'embellissent pas le musicien.
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 232
(…) Les yeux des hommes. Quand ils sont
petits, on dirait des yeux de femme ; mais, d'autre part, s'ils
paraissent aussi gros qu'une cruche de métal, ils seraient effrayants.
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 237
Le fil pour coudre quelque chose dont on a besoin tout de suite
Un piédestal de lampe
Les cheveux d'une femme de basse condition. Il est bon qu'ils soient gracieusement coupés court..
Ce que dit une jeune fille.
Un piédestal de lampe
Les cheveux d'une femme de basse condition. Il est bon qu'ils soient gracieusement coupés court..
Ce que dit une jeune fille.
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 238
Quand j'aperçois un encrier malpropre, poudreux, un bâton d'encre que l'on a frotté sans soin et usé d'un seul côté, cela me fait une impression désagréable. Je déteste également voir une personne prendre, avec une pince de bambou, un bâton d'encre qui a beaucoup servi.
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 243-244
Les enfants d'aujourd'hui, à trois ans.
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 252
Ceux (…) qui déclarent le coucou inférieur au rossignol me paraissent incapables de sentiment, et tout à fait détestables. Le rossignol ne chante pas la nuit, et c'est grand dommage. Tout ce qui chante la nuit est ravissant. Il est vrai qu'il n'en est pas ainsi pour les enfants.
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 257
Il peut arriver qu'un homme, à dessein, ne châtie pas son langage, et se serve, à l'ocasion, d'une expression tout à fait commune. On ne trouve pas cela mal ; mais on méprise les gens qui emploient les tournures défectueuses de leur parler provincial.
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 284
Ah ! La maison Où les sourcils que forment les feuilles des saules,
En s'étalant
Avec présomption,
Déshonorent le visage du printemps !
En s'étalant
Avec présomption,
Déshonorent le visage du printemps !
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 294
Les gens qui bâillent.
Les enfants.
Les gens de peu, lorsqu'ils sont impudents.
Les enfants.
Les gens de peu, lorsqu'ils sont impudents.
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 298
Je vis un jour une jeune fille de dix-huit ou dix-neuf ans, dont la superbe chevelure, aussi longue qu'elle-même était grande, semblait abondante jusqu'à l'extrémité. Cette jeune fille était gracieusement potelée, son teint resplendissait de blancheur. On voyait qu'elle avait un charmant visage ; mais elle souffrait d'une terrible rage de dents. Les cheveux qui retombaient sur son front étaient tout trempés de larmes. Sans même faire attention au désordre de sa chevelure, elle appuyait sa main contre sa joue rouge, et, dans cette posture, elle était ravissante.
-
Notes de chevet (~995-1005), Sei Shōnagon (trad. André Beaujard), éd. Gallimard / Unesco, 2007, p. 308
Quelqu'un dont l'habit a la couture du dos tirée sur le côté.
(…)
Les gens qui amènent des enfants chez des personnes auxquelles ils font seulement de rares visites.
Un jeune garçon portant un pantalon et chaussé de hautes sandales ; mais cela, c'est à présent la mode !
Une femme maigre, laide, ayant la peau brune, qui porte une perruque.
Une pareille femme qui fait la sieste avec un homme barbu et décharné. Quel joli spectacle croyaient-ils donc offrir en s'étendant ainsi en plein jour ? Si c'était la nuit, il n'y aurait rien à redire ; alors, les gens ne peuvent apercevoir votre figure ; ils sont d'ailleurs tous couchés, on n'a donc pas besoin de rester sur pied de crainte qu'ils ne vous trouvent laid en vous voyant dormir.
Si tous ceux qui ne sont pas beaux se levaient de bon matin, cela vaudrait mieux pour les yeux des gens.
(…)
Les gens qui amènent des enfants chez des personnes auxquelles ils font seulement de rares visites.
Un jeune garçon portant un pantalon et chaussé de hautes sandales ; mais cela, c'est à présent la mode !
Une femme maigre, laide, ayant la peau brune, qui porte une perruque.
Une pareille femme qui fait la sieste avec un homme barbu et décharné. Quel joli spectacle croyaient-ils donc offrir en s'étendant ainsi en plein jour ? Si c'était la nuit, il n'y aurait rien à redire ; alors, les gens ne peuvent apercevoir votre figure ; ils sont d'ailleurs tous couchés, on n'a donc pas besoin de rester sur pied de crainte qu'ils ne vous trouvent laid en vous voyant dormir.
Si tous ceux qui ne sont pas beaux se levaient de bon matin, cela vaudrait mieux pour les yeux des gens.
Autres exemples de listes
• Choses que l'on entend parfois avec plus d'émotion qu'à l'ordinaire
• Choses particulières
• Choses désolantes
• Choses dont on néglige souvent la fin
• Choses qui font naître un doux souvenir du passé
• Choses qui égayent le coeur
• Choses qui ne s'accordent pas
• Choses rares
• Choses qu'il ne valait pas la peine de faire
• Choses dont on n'a aucun regret
• Choses qui paraissent agréables
• Choses qui semblent éveiller la mélancolie
• Choses splendides
• Choses qui frappent de stupeur
• Choses qui sont loin du terme
• Choses qui perdent à être peintes
• Choses qui gagnent à être peintes
• Choses qui émeuvent profondément
• Choses qui donnent une impression de chaleur
• Choses sans valeur
• Choses qui emplissent l'âme de tristesse
• Choses qui distraient dans les moments d'ennui
• Choses qui sont les plus belles du monde
• Choses effrayantes
• Choses qui semblent pures
• Choses ravissantes
• Choses sans retenue
• Choses dont le nom est effrayant
• Choses enviables
• Choses que l'on a grande hâte de voir, ou d'entendre
• Choses qui ne servent plus à rien, mais qui rappellent le passé
• Choses qui sont éloignées, bien que proches
• Choses tumultueuses
• Choses négligées
• Choses qui ne font que passer
• Choses qui donnent confiance
• Choses qui rendent heureux
• Choses vénérables et précieuses
• Choses auxquelles on ne peut s'abandonner
• Choses désagréables
• Choses difficiles à dire
• Choses que l'on entend parfois avec plus d'émotion qu'à l'ordinaire
• Choses particulières
• Choses désolantes
• Choses dont on néglige souvent la fin
• Choses qui font naître un doux souvenir du passé
• Choses qui égayent le coeur
• Choses qui ne s'accordent pas
• Choses rares
• Choses qu'il ne valait pas la peine de faire
• Choses dont on n'a aucun regret
• Choses qui paraissent agréables
• Choses qui semblent éveiller la mélancolie
• Choses splendides
• Choses qui frappent de stupeur
• Choses qui sont loin du terme
• Choses qui perdent à être peintes
• Choses qui gagnent à être peintes
• Choses qui émeuvent profondément
• Choses qui donnent une impression de chaleur
• Choses sans valeur
• Choses qui emplissent l'âme de tristesse
• Choses qui distraient dans les moments d'ennui
• Choses qui sont les plus belles du monde
• Choses effrayantes
• Choses qui semblent pures
• Choses ravissantes
• Choses sans retenue
• Choses dont le nom est effrayant
• Choses enviables
• Choses que l'on a grande hâte de voir, ou d'entendre
• Choses qui ne servent plus à rien, mais qui rappellent le passé
• Choses qui sont éloignées, bien que proches
• Choses tumultueuses
• Choses négligées
• Choses qui ne font que passer
• Choses qui donnent confiance
• Choses qui rendent heureux
• Choses vénérables et précieuses
• Choses auxquelles on ne peut s'abandonner
• Choses désagréables
• Choses difficiles à dire
Choses élégantes
Choses qui ont un aspect sale
Choses qui font battre le coeur
Choses qui font naître un doux souvenir du passé
Choses qui ont un aspect sale
Choses qui font battre le coeur
Choses qui font naître un doux souvenir du passé